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Les Cerfs-volants de Kaboul
10 janvier 2011

Phrase marquante

Une phrase - ou un extrait - du roman vous marque plus particulièrement.  Peut-être est-ce une phrase que vous auriez aimé écrire...  Quelle est cette phrase et pourquoi vous marque-t-elle ?

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Commentaires
L
La phrase qui m'a le plus marqué dans cette histoire c'est "pour vous, un millier de fois".<br /> C'est la phrase la plus touchante du livre qui témoigne de l'amitié et de la loyauté d'Hassan pour Amir. Mais c'est aussi la dernière phrase qu'Hassan a adressé à Amir avant que tout bascule dans la vie des deux garçons, avant que sans le savoir encore Amir laisse tomber son propre frère pour sauver sa peau. Puis, à la fin, Amir s'est racheté de ces fautes en sauvant le fils d'Hassan Sohrab et il a repris la phrase de son frère et l'a adressé à son neveu: " pour toi un millier de fois." Donc, on peut dire que c'est cette phrase qui encadre l'histoire (avant le drame d'Hassan et après qu'Amir se soit racheté).
V
Je n’ai pas vraiment ciblé une phrase précise dans le roman qui ma marquer, mais par exemple la phrase que j’ai le plus aimer et qui marque le déroulement de l’histoire est : «Il existe un moyen de te racheter». Amir reçoit un coup de téléphone, et il apprend qu’Hassan et sa femme sont morts et ils laissent un orphelin au nom de Sohrad. C’est de la que provient la phrase «il existe un moyen de te racheter». Amir encore coupable de ce qu’il a fait à Hassan fonce pour retrouver son neveu. Cette phrase me marque parce que malgré le fait que Amir a maintenant une belle vie et que sa faisait plusieurs années qu’il ne parlait plus à Hassan, il prend son courage et fonce jusqu’au bout dans le seul but de se racheter, même si Hassan ne peut pas le voir directement. Il sait qu’après sa, la paix de son ami et lui va être revenu. Pour moi le courage est une valeur très importante et demande beaucoup de détermination pour aller jusqu’au bout. En plus, la phrase est une action plutôt importante dans le roman qui est inévitable pour produire cette histoire.
L
---
I
La phrases qui m'a marqué se trouve à la page 271 le voici : '' Si je lui en refuse un, il en prend dix. Alors je le laisse faire et je m'en remets à Allah Je ravale ma fierté, j’accepte son argent maudit et, après, je cours au bazar acheter à manger aux gamins.'' Après cette lecture j'ai pu constater à quel point Kaboul avait changé avec le temps. Si c’est rendu que le seul moyen que quelqu’un peut trouver pour nourrir des enfants c’est d’en prostituer un autre c’est qu’il y a là un très gros problème. Ce genre de situation est fréquent partout dans le monde et je trouve ça triste de penser qu’un enfant subi des agressions pareil et qu’il ne peut, la plupart du temps, rien faire pour se défendre.
S
Tout au long de ma lecture de ce roman excitante, il y une phrase dans ce livre qui mon fait réagir. La phrase se trouve à la fin du chapitre 9. La voici : «Pieds nus dans les flaques, je les aurais poursuivis en leur hurlant de s’arrêter, j’aurais tiré Hassan de son siège pour lui dire que j’étais désolé, si désolé, mes larmes s’étaient mêlées à l’ondée et nous nous serions jetés dans les bras l’un de l’autre». Cette phrase m’avait fait extrêmement réfléchir, j’ai déposé mon livre et j’ai pensé, comment l’histoire aurait poursuivi si Amir avait vraiment couru après Hassan pour s’excuser. L’histoire n’aurait pas été pareille. D’après moi, je pense qu’Hassan serait resté avec Amir à Kaboul, mais que son père Ali serait parti quant même aux États-Unis. Amir n’avait pas l’honnêteté ni assez de courage pour s’excuser et d’admettre qu’il avait commis une erreur.
Les Cerfs-volants de Kaboul
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