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Les Cerfs-volants de Kaboul
10 janvier 2011

Journal intime

Après un événement précis du roman, mettez-vous dans la peau d'un des personnages et rédigez ce que personnage écrirait dans son journal intime à ce moment-là.  Attention de respecter la psychologie du personnage (donc son vocabulaire, ses valeurs, son histoire, etc.)

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V
Journal intime du dirigeant de l'orphelinat.<br /> <br /> Cher journal, travailler à l'orphelinat n'est pas de tout repos. Chaque jour j'ai des demandes de mères pour prendre leurs enfants, j'aimerais tant leur dire: oui, je vais m'en occupé mais, je n'ai pu de place pour des enfants. J'ai environ 250 enfants et je n'ai plus d'argent pour les faire manger. Je n'aime pas les voir dans un tel état. Ils sont encore très jeune et ils on encore toute leur vie à vivre. J'aimerais être avoir plus de pouvoir et d'importance dans la ville pour empêcher les talibans de me prendre les enfants pour avoir de l'argent. Je me met souvent à leur place, et même si je suis rendu adulte, je pense à comment ils vont vivre plus tard, les répercutions que cela va avoir sur leur vie. J'aimerais tant sa avoir tout pleins d'argent pour eux, leurs donner des jouets, des cadeaux, de la nourriture et un belle endroit ou vivre. Chaque jours, je vois les enfants être malheureux et j'en vois qui sont malade. J'aime aider les gens autour de moi, mais maintenant je n'ai plus rien pour moi, j'ai toute vendu et je me sens seule. J'espères que les prochains jours à venir vont aller de l'avant et qu'il va arriver de bonne chose.
H
Cher journal, maintenant ma tâche est complétée, en ramenant Sorhab, j’ai accomplies les dernières volontés de Rahim Khan. C'était toute une expérience de retourner dans la terre qui m'a vu grandir. Sorhab est chez moi, chez lui, sur une terre ou il aura des opportunités. Il n'est plus un Hazara et je ne suis plus un Patchoun aux yeux des américains. Son bec de lièvre me rappel celui d'Hassan, il me manque. J'élèverai Sorhab comme le fils que je n'ai jamais pu avoir. J'aurai aimé qu'il connaisse l'Afghanistan, le « wattan » de mes ancêtres, quand Kaboul était en paix, comme dans mon enfance. Je suis heureux avec ma nouvelle famille, Soraya et Sorhab sont tout pour moi. Je sens que les fautes que j'ai commises par le passé sont enfin pardonnées.
I
Correction :<br /> - Je donne toute ma confiance à cet étranger qui prend si bien soins de moi,**<br /> <br /> -j’aimerais être moins distant .. *
É
Journal intime d’Amir alors qu’il vient d’apprendre qu’Hassan et Farzana ont été assassinés. ( P. 246)<br /> <br /> « Mais je ne parvenais qu’à murmurer la même litanie, non, non, non, non. » <br /> Le soir venu, dans une petite Chambre de l’appartement de Rahim Khan sahib je n’arrivais pas à m’endormir. Je me blâmais de ne lui avoir jamais demandé pardon. De ne pas avoir été la, pour lui, à se moment précis de sa vie. Je savais que j’aurais pu faire une différence en agissant autrement. J’avais honte de ne pas avoir abordé le sujet avec lui, de ne pas l’avoir soutenue et encouragée à dénoncer ces jeunes sans-cœurs! D’avoir accepté qu’il serve des boissons à Wali et Assef, lors de ma fête, tête baissée comme si de rien n’était. Ces voyous ont pu vivre une vie normale, sans vivre avec les conséquences de leur geste impardonnable. Quant à moi, au lieu de l’aider, je l’ai forcé à mentir à Baba, j’ai contribué à son départ. Maintenant, il était mort, ma dernière pensée à son sujet porta sur son fils. Pauvre petit homme, devenu orphelin. Je sentis alors une poussée d’amour grandissante en moi pour ce petit, comme celle que Baba avait lors de l’inauguration de son orphelinat. J’eus l’idée de l’adopté. Peut importe ce que Soraya soit d’accords ou non, ce geste me paraissait la seule solution pour me faire pardonner auprès d’Hassan.
I
Voici ce que Sohrab dirait dans son journal intime :<br /> Cher journal, me voici dans un pays qui n’est pas le mien, je suis pris en charge par un homme qui prétend être mon oncle. Pourtant lorsque mon père me parlait de lui , il ne me le présentait pas ainsi mais plutôt comme son meilleur ami, mais est-ce que j’ai le choix de rester avec lui ou pas ? Malheureusement je n’ai plus rien dans ce monde et je devrais être heureux que quelqu’un puisse encore croire en moi. Je ne peux m’empêcher de pensé à mes parents qui m’ont quitté il y a quelque mois déjà, parfois je me dis que j’aurais préféré être mort comme sa nous serions tous ensemble et peut être serais-je plus heureux… Je donne toute ma confiance à cet étranger qui prend si bien soins, j’aimerais être mois distant et plus social avec lui mais je ne préfère pas m’attacher à lui car on ne sait jamais quand les gens vous laisseront tombés !
Les Cerfs-volants de Kaboul
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