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Les Cerfs-volants de Kaboul
10 janvier 2011

Cri du coeur

Vous avez à vous exprimer, mais ne savez dans quelle catégorie placer votre cri du coeur ?  C'est ici !

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Commentaires
L
Mon cri du cœur est pour Sohrab. Lorsque j’ai lu la scène où, après avoir tenté de se suicider, Sohrab se retrouve à l’hôpital et qu’il dit à Amir : « Je suis fatigué.» Cela m’a choqué parce que dans le contexte il ne parlait pas de fatigue physique seulement mais de fatigue morale aussi. Ce n’est pas une phrase qui devrait sortir de la bouche d’un petit garçon de dix ans. C’est une phrase qui vient de quelqu’un qui en a trop vu dans sa vie et qui a perdu tout espoir. Quand j’ai lu ce passage ma gorge était nouée. J’ai aussi pensé sur le coup que tout était la faute d’Amir parce que c’est lui qui a brisé les dernier espoirs de Sohrab, même s’il ne l’a pas fait exprès. Il aurait dû comprendre les peurs de l’enfant. Il faut dire que la dernière fois qu’il a été placé à l’orphelinat, après la mort de ses parents, les talibans sont venus le chercher pour abuser de lui. C’est clair qu’après ça il ne faut plus lui parler d’orphelinat. Et on s’étonne qu’il ait essayé de se suicider!
V
Mon cri du cœur n'est pas en lien direct avec le roman. En lisant «Les cerfs-volants de Kaboul», j’ai repensé dans ma tête le récit et je me suis dit qu’un autre bon titre pour le roman pourrait être : il existe un moyen de te racheter. Je trouve que sa ferait un bon titre parce que la cible du roman est fixée sur sa. Amir doit retrouver le fils d’Hassan pour s’en occuper. Le courage d’Amir vient du cout de téléphone qui reçoit. Donc, si Amir n’avait pas eu le coup de téléphone l’histoire n’aurait donc pas eu lieu. Le titre actuel du roman n’est pas mauvais pour autant car le début du roman et l’élément déclencheur est en lien avec les cerfs-volants et aussi le roman se termine avec les cerfs-volants.
É
Cette semaine, j’ai un très petit cri du cœur.<br /> À la page 126, lorsque j’ai lu que Baba a pleuré j’ai été très émue.<br /> Tout au long de ma lecture, j’avais l’impression que cet homme était un soldat, avec une armure. À cet instant, j’ai senti une certaine libération de sa part, comme s’il avait enlevé son armure pour nous montrer son côté émotionnel. J’ai trouvé touchant qu’un homme aussi strict et réservé coté émotionnel nous montre enfin une autre émotion que la joie.
J
paraître*
J
Bien que j'ai adoré ce roman, je trouve que la fin est beaucoup trop fade. En effet, en lisant les dernières lignes du roman, je m'apprêtais à tourner la page pour la suite de l'histoire, puis me rends compte avec une immense tristesse que l'écrivain finit son œuvre ainsi. Cela peut paraitre pathétique, mais le fait que l'auteur n'est pas finit son histoire avec une fin heureuse ou triste m'a beaucoup dérangé. Nous ne savons pas si Sorhab a trouvé le bonheur en Amérique, ou s'il va le trouver un jour, nous retournons dans l’incompréhension comme le début du roman.
Les Cerfs-volants de Kaboul
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